Depuis la prison de Tanger, l’activiste Nasser Zefzafi a vivement critiqué la manière dont les autorités ont géré les manifestations de la “Génération Z”, estimant que le recours à la répression et aux arrestations, au lieu du dialogue et de la satisfaction des revendications populaires, reflète, selon lui, une politique du type « Après moi, le déluge ».
Zefzafi a mis en garde contre les conséquences de cette approche qui, selon lui, “ne pourra qu’apporter des malheurs au pays dans un avenir proche”. Il a également exprimé sa condamnation de ce qu’il qualifie de “répression” contre les manifestants, tout en réclamant la libération de tous les hommes et femmes patriotes arrêtés à la suite de ces manifestations pacifiques.